Personnes trans

Avis sans appel de la Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme (CNDCH) sur le plan national d’actions pour l’égalité des droits, contre la haine et les discriminations anti LGBT+ 2020 – 2023

Avis sans appel de la Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme (CNDCH) sur le plan national d’actions pour l’égalité des droits, contre la haine et les discriminations anti LGBT+ 2020 – 2023

Dans un avis adopté en séance plénière le 30 novembre dernier, la Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme (CNCDH), autorité indépendante de protection et de promotion des droits humains,  a rendu publique son évaluation du plan national d’actions pour l’égalité des droits, contre la haine et les discriminations anti LGBT+ pour  la période 2020 – 2023.

Fruit d’un travail approfondi, l’évaluation du Plan 2020 – 2023 par la CNCDH est très critique alors que le nouveau a été élaboré et annoncé en juillet dernier sans attendre la publication de cet avis.

Jeunes trans : en mémoire de leurs morts, luttons pour leur vie

Jeunes trans : en mémoire de leurs morts, luttons pour leur vie

[Tribune collective à l’initiative d’ACCEPTESS‑T à retrouver en intégralité sur le site de Libération]

Depuis 1999, les communautés trans se retrouvent le 20 novembre à l’occasion du Jour du souvenir trans. C’est une journée de lutte, de deuil et de mémoire. Chaque année, nous rendons hommage à des personnes tuées, d’autres emportées par la pauvreté, le VIH ou le suicide. Elles étaient au moins 17 cette année en France. Elles avaient entre 17 ans et 35 ans. Ces morts sont politiques et sont les conséquences directes des violences et discriminations à l’encontre de la jeunesse trans.

Attaques contre les personnes trans sur des tracts distribués à Villeneuve d’Ascq

Attaques contre les personnes trans sur des tracts distribués à Villeneuve d’Ascq

Communiqué de presse commun avec le Parti Socialiste du Nord et les Jeunes Socialistes du Nord

HES Nord a été informée par des habitant·es de Villeneuve d’Ascq de la distribution par courrier d’un long tract dénonçant “l’idéologie transgenre à l’école”.

Sur  huit pages, ce document est un concentré de fausses informations et de mensonges sur les transidentités et les personnes trans. Évoquant un “lobby”, “une armée de fanatiques” et des processus qui seraient “criminels” et employant les mots “menaces”, “contagion”, les phrases contenues dans ce texte masquent difficilement la transphobie de l’association qui a diffusé le document. 

Pour une alliance féministe et trans

Pour une alliance féministe et trans

Suite à l’« offensive réactionnaire » suscitée par une affiche du Planning Familial, un large collectif d’organisations et personnalités – telles Adèle Haenel, Corinne Masiero, Amal Bentounsi, Pomme, Paloma, Élisa Rojas, Rebeka Warrior ou Danièle Obono – déplorent cette « instrumentalisation des droits des femmes », luttant « contre toute opposition entre féminisme et luttes trans » et refusant leur vision essentialiste des femmes. Elles appellent « au soutien actif de toutes les forces se revendiquant du féminisme envers les personnes trans ».

En juin pour défendre les droits LGBTI+, choisir l’émancipation et l’égalité : votons pour la gauche Nupes

En juin pour défendre les droits LGBTI+, choisir l’émancipation et l’égalité : votons pour la gauche Nupes

Les élections législatives de ces 12 et 19 juin 2022 arrivent dans une période politique inédite depuis des années : une union large de la gauche et des écologistes s’est faite et les partis qui la constituent partent rassemblés. Elle a le mérite de porter clairement le combat pour les droits LGBTI+ et l’égalité dans son programme, là où la droite ne propose rien.

Droits des femmes sous Macron : grandes promesses, minuscule bilan

Droits des femmes sous Macron : grandes promesses, minuscule bilan

Le 8 mars est la Journée internationale pour les droits des femmes. C’est l’occasion de revenir sur les 5 années d’un président et d’une majorité qui se revendiquaient féministe et avaient promu les droits des femmes comme grande cause nationale. Une « grande cause » bien mal servie durant 5 ans, qui concerne aussi les LGBTI+ dont les combats communs avec le féminisme font partie de notre histoire et de notre quotidien.